L’indication de suivre une thérapie familiale est une décision commune. Elle se construit avec les différents membres de la famille consentant à venir aux séances.
La thérapie familiale peut-être conseillée dans les situations où l’on constate des problèmes psychiques ou de comportements. Ils engendrent un dysfonctionnement relationnel entre les membres du groupe. Par exemple, l’exclusion de l’un ou de l’autre, les silences répétés, le manque de discussion, l’agressivité, voire la violence …
Selon la théorie systémique, la famille est considérée comme un « système ». Dans ce dernier, les processus d’interactions et de communication peuvent générer un déséquilibre de l’équilibre homéostasique. En effet, chaque famille a son propre fonctionnement et dès qu’un évènement intérieur ou extérieur vient le troubler, une résistance s’organise sans que le système en ait conscience.
Parfois la famille accompagne le malade pour entreprendre une thérapie familiale qui, selon elle, déstabilise l’équilibre familial. Son intention est de l’amener à changer de comportement ou de discours. La thérapie familiale va bien sûr épauler ce patient mais elle aide également les autres membres de la famille. En effet, chacun est amené à redéfinir son rôle et sa fonction. Ces évolutions sont nécessaires si la famille (« le système familial ») veut dépasser l’état de crise qu’elle traverse. Ce travail collectif aboutit vers un équilibre plus satisfaisant.
Aussi, le thérapeute familial avec ses outils va intervenir de manière inventive. Il va aider chacun à se positionner pour que le système familial trouve un nouvel équilibre en inventant un nouveau processus relationnel.
Il existe en Thérapie familiale systémique plusieurs concepts :
La durée d’une séance est de 1 heures 30 une fois toute les trois semaines, un mois.
« Un corps vivant est un corps vibrant. Un corps pleinement vivant est capable de ressentir totalement les plaisirs et les peines, les joies et les douleurs de la vie. »
Dr Alexander Lowen – la Bioénergie
« Qui veut déplacer une montagne commence par déplacer de petites pierres. »
Confusius